Forums des Landes Eternelles

*passe pour recuperer son frere, voit le kultar avachis dans un coin le secoue, constatant qu il ronfle, le couvre* puis se dirige vers Palladio, egalement inquiete*

Et bien dis donc, qu est ce que vous avez tous en ce moment ? comment vous sentez vous Sire Palladio? et vous Eskrok, a ben c est du propre vous etes tous saouls comme des bariques.... esperons qu il ny aie pas d attaque pendant ce temps....

*regarde son frere avachi, son regard se pose sur les deux autres aventurier, triste*

je ne comprends pas ce qui vous pousse a fuir ainsi. je pensais trouver un exemple en suivre dans des gens comme vous....

*se ressaisit, regrettant immediatement ses paroles, soupire*

reprenez vous messieurs, des tas de jeunes recrues ont besoin de vous, frais et dispo.

*prends une profonde respiration, tourne les talons et marche vers la sortie sans aucun regard pour son frere*

regardant Avens debarquer, il reconnait la jeune Kultare avec qui il a deja eu plusieurs discussion, elle s'approche, et le sermonne un peu

vous savez Avens, il est des choses que... qu'il est impossible d'oublier, ces choses la vous hantent toute votre vie, et l'alcool apporte un semblant d'oubli... mais vous avez raison, j'ai pas d'excuses...

*écoute Palladio le comprenant sourit à peine*

Je vous comprend...si vous avez besoin d aide ou d écoute je suis là *sourit délicatement* je pense pouvoir vous comprendre...

L'eldorian ouvre une page de son livre et se met à écrire tout en écoutant les personnes dans la taverne.

Il suffit de ne pas se noyer.... Mais souvent elles soulagent nos blessures... nos plaies, nos dégoûts... Il y a une limite à tout, j'assume totalement, parfois certain essaye d'oublier, d'autres veulent fuir la réalité... sur un brin d'illusion éphémère... Le vice et la vertu... Nous sommes traquer jusqu'aux plus profond de nos songes.. On réussie, on arrive à changer... On oublis ou on est hanter toutes sa vie... Si cela peux aider certains, qu'ils assument, moi c'est le cas... Avens ne vous inquiétez pas pour moi, VA!

Ecoute Palladio un verre à la main, son regard se perdant dans la liqueur rouge sang puis il s'exclame en s'avançant vers son Frère.


Nan nan et nan! Par les cornes d'un foutu Féran! Palladio m'enfin! On ne noie pas des chagrins et le passé dans quelques verres. La douleur après n'est que ravivée, même si certaine cicatrice ne se referment pas, il faut vivre avec!
Par Fingel! Faudra que je te corrige sur ce défaut, hin!


Valiant grogne et se calme un peu, les joues légérement pourpres par la colère (et un peu surement, de l'alcool).