StacysMOm !
Moi StacysMom, Galdur au grand coeur
Aidant c'est compatriote dans la douleur
Mais aussi dans la douceur !
La nuit endormi
Et le matin eveillei
Près a allé voir ses amis
Les aidant dans leur folis
Ensuite la journé s'accelere
Me donnant le tourni et la tête en l'air
Je constate les dégats causé hier
Sans se soucié de la journé prochaines
Qui celle-ci dure une demi-douzaine d'heure
Qui rappel toutes la journés passé dans ce bonheur
Alors j'écrits ce poème
Sur cet admirable jeu de landes eternelles
Poème de Stacys...
De l'amour a la rupture ...
Un soir, dans les vallées Irilionaises;
J'ai croisé une jeune eldoriane aussi belle que la lumière;
Je les aperçue du haut de la falaise;
Mon regard s'illuminait et les mots se taire;
De sa beauté a sa bompté;
De ma tendresse à ma perspicacité;
Au clair de lune, nous nous sommes enlacés;
Au petit matin, nos vies se sont dispersés;
Le coeur brisé, je m'en suis retourné;
Vers Séridia, je suis allé;
de peur de revoir ma cher et tendre;
Que j'ai temps aimé;
StacysMom
J'ai croisé une jeune eldoriane aussi belle que la lumière;
Je les aperçue du haut de la falaise;
Mon regard s'illuminait et les mots se taire;
De sa beauté a sa bompté;
De ma tendresse à ma perspicacité;
Au clair de lune, nous nous sommes enlacés;
Au petit matin, nos vies se sont dispersés;
Le coeur brisé, je m'en suis retourné;
Vers Séridia, je suis allé;
de peur de revoir ma cher et tendre;
Que j'ai temps aimé;
StacysMom
D'irlion a Séridia
Le matin, nous nous levons sur Irilion.
Le soleil et ses rayons atteignent nos visions.
Nous récoltons tous les bouillons pour en en faire de bon bouillon.
A deux pas de là se trouve Séridia
Làs bas nous marchons a trépas
Nous ne buvons pas de soda
Mais la fête est toujours là.
Mais venu aux galdurs, nos peaux se mues
Et nous somes devenus des voies inconnues
StacysMom
Le matin, nous nous levons sur Irilion.
Le soleil et ses rayons atteignent nos visions.
Nous récoltons tous les bouillons pour en en faire de bon bouillon.
A deux pas de là se trouve Séridia
Làs bas nous marchons a trépas
Nous ne buvons pas de soda
Mais la fête est toujours là.
Mais venu aux galdurs, nos peaux se mues
Et nous somes devenus des voies inconnues
StacysMom
Irilion
Au Irlion, que ton nom est si beau
Les créatures qui te hante, nous font frémire
Mais pour ma race, tu nous fais juste rougir
Mais tu es si beau, qu'on ausserai te touché.
Le voyage pour te voir est payant
Mais lorsqu'on te vois, on n'est si content.
Lors de ta découverte, je me semblais perturbé
Par c'est terre encor inconnue
Mais mon coeur s'est vite emballé.
Et depuis ce jour, je ne peux plus te quitté.
J'ai appris beaucoup de chose sur toi
Mais toi, tu ne sais rien sur moi
Ni mon regard, ni mon nom
Tu sais juste que je hante tes terres pendant plusieur fingéliens
Et que je ne te quitte plus !
Au Irlion, que ton nom est si beau
Les créatures qui te hante, nous font frémire
Mais pour ma race, tu nous fais juste rougir
Mais tu es si beau, qu'on ausserai te touché.
Le voyage pour te voir est payant
Mais lorsqu'on te vois, on n'est si content.
Lors de ta découverte, je me semblais perturbé
Par c'est terre encor inconnue
Mais mon coeur s'est vite emballé.
Et depuis ce jour, je ne peux plus te quitté.
J'ai appris beaucoup de chose sur toi
Mais toi, tu ne sais rien sur moi
Ni mon regard, ni mon nom
Tu sais juste que je hante tes terres pendant plusieur fingéliens
Et que je ne te quitte plus !
Galdurs
Nous les galdurs, les hommes forts
Nous sommes souvent appelé les guerriers, les barbares
Le combat fait notre force
La douceur fait notre faiblesse
Mais notre vengeance est titanesque.
Notre défault est de tué sans réfléchir
Comme des fous, des animaux.
Les sangliers ont les mais a frire
Tandis que les salades, on les jettent.
Nous sommes assoifés de sang
Mais point autant que de tué ses amis
Car nous avons un grand coeur.
Mais au point de tué ses ennemies
Qui se vente et qui charie
Nous sommes adorables et détestable.
Nous les galdurs, les hommes forts
Nous sommes souvent appelé les guerriers, les barbares
Le combat fait notre force
La douceur fait notre faiblesse
Mais notre vengeance est titanesque.
Notre défault est de tué sans réfléchir
Comme des fous, des animaux.
Les sangliers ont les mais a frire
Tandis que les salades, on les jettent.
Nous sommes assoifés de sang
Mais point autant que de tué ses amis
Car nous avons un grand coeur.
Mais au point de tué ses ennemies
Qui se vente et qui charie
Nous sommes adorables et détestable.
Dans ce monde hiérarchisé
La valeur de l'homme reste immense.
La comparaison reste abstraite
Temps le cosmos est immense.
Dans ce monde hiérarchisé
Les riches vivent d'amour et de romance.
Leurs conditions sociales est un attribut de séduction
Tandis que les pauvres se sentent méprisés voir rejetés.
Depuis quelques jours, les contrées landaises sont attaqués
Les classes sociales n'existent plus
L'entraide est le seul attout.
L'action de chacun est important
Aucun aventurier n'est de trop
Dans la lutte de ce monde hiérarchisé.
La valeur de l'homme reste immense.
La comparaison reste abstraite
Temps le cosmos est immense.
Dans ce monde hiérarchisé
Les riches vivent d'amour et de romance.
Leurs conditions sociales est un attribut de séduction
Tandis que les pauvres se sentent méprisés voir rejetés.
Depuis quelques jours, les contrées landaises sont attaqués
Les classes sociales n'existent plus
L'entraide est le seul attout.
L'action de chacun est important
Aucun aventurier n'est de trop
Dans la lutte de ce monde hiérarchisé.
Pkeur