Légende Galdure
Publié : 01 mai 2016, 22:08
Il est dit que parfois les ménestrels commencent ainsi une légende, une légende antique et que le temps a défigurée, malmenée. Qui sait aujourd'hui où se cache la vérité de ce qui se passa dans les confins glacés. Cette histoire est-elle si ancienne ? Cette histoire a-t-elle une once de vérité ? Qu'importe aux trouvères la vérité ? Seul compte l'auditoire, ses cris, ses frissons, ses jurons et ses espoirs.
Dans les steppes glacées du Nord, aux confins du monde, là où ciel et terre s'embrassent, on conte une légende.
Dans les Terres Gelées du Nord, où les montagnes surmontent les nuages, on conte une légende.
Là où le vent souffle, emportant des spirales blanches à l'aspect trompeur d'un doux coton, on conte une légende.
Là où le vent souffle, emportant des spirales de lames de rasoir de gel brulant, on conte une légende.
Sous le manteau blanc de la neige immaculée, on conte une légende.
Sous le manteau blanc du brouillard épais, on conte une légende.
Les hommes, durs comme les glaciers qui les ont vu naitre, content une légende.
Les femmes, fortes comme le vent qui traverse les steppes, content une légende.
Dans les steppes glacées du Nord, au coeur de la tourmente, il naquit
Dans les Terres gelées du Nord, au son du blizzard, il naquit.
Là où le vent souffle, glacé et rugissant, il naquit
Là où le vent souffle, étoilé de glace, il naquit.
Sous le blanc manteau de neige, il naquit
Sous le manteau blanc du brouillard, il naquit
D'un homme dur et froid il naquit
D'une femme forte et belle, il naquit.
Entouré du froid glacé, au coeur de la nuit
Dans les ténèbres claires d'une steppe enneigée
Le lourd silence apaisé d'un cri est détruit
Les cris résonnent faisant vibrer tous les rochers
Les loups se joignent au chorus des cris de la mère
Les montagnes tremblent sous les cris qui se réverbèrent
Entouré du froid glacé, au coeur de la nuit
Les hurlements de loups accompagnant ses cris
Sous le vent étoilé de glace donnant la vie
Sous le lourd manteau blanc du brouillard, elle le vit
Entouré du froid glacé, au coeur de la nuit
Les hurlements de loups accompagnant ses cris
Sous le vent froid étoilé de glace il naquit
Sous le lourd manteau blanc du brouillard, il naquit
L'éternel hiver dura encor et encor
Et ce vent glacé qui l'avait vu naître alors
Continuait à souffler, comme pour mieux l'observer
Pour le voir grandir, évoluer, se renforcer
Mais pour dire vrai dans les confins glacés du Nord
L'été n'est qu'un vague rêve, un espoir encor
Sous le manteau de neige il grandit, devint fort
Sous le manteau de neige sans compter ses efforts
Sous le manteau de neige qui enveloppe le Nord
Il le sentait à travers chaque fibre de son corps
Il était destiné à un grand avenir
Sous le manteau de neige s’entraînant sans repos
Sous le manteau de neige travaillant ses assauts
Sous le manteau de neige aux passés ancestraux
Il l'entendait dans le chant de tous les oiseaux
Il était destiné à un grand avenir
Sous le manteau de neige il maniait sa massue
Sous le manteau de neige il était à l'affût
Sous le manteau de neige rien n'était trop ardu
Il le sentait, l'entendait, l'avait toujours su
Il serait un héros, allait le devenir
Dans les steppes glacées du Nord, aux confins du monde, là où ciel et terre s'embrassent, on conte une légende.
Dans les Terres Gelées du Nord, où les montagnes surmontent les nuages, on conte une légende.
Là où le vent souffle, emportant des spirales blanches à l'aspect trompeur d'un doux coton, on conte une légende.
Là où le vent souffle, emportant des spirales de lames de rasoir de gel brulant, on conte une légende.
Sous le manteau blanc de la neige immaculée, on conte une légende.
Sous le manteau blanc du brouillard épais, on conte une légende.
Les hommes, durs comme les glaciers qui les ont vu naitre, content une légende.
Les femmes, fortes comme le vent qui traverse les steppes, content une légende.
Dans les steppes glacées du Nord, au coeur de la tourmente, il naquit
Dans les Terres gelées du Nord, au son du blizzard, il naquit.
Là où le vent souffle, glacé et rugissant, il naquit
Là où le vent souffle, étoilé de glace, il naquit.
Sous le blanc manteau de neige, il naquit
Sous le manteau blanc du brouillard, il naquit
D'un homme dur et froid il naquit
D'une femme forte et belle, il naquit.
Entouré du froid glacé, au coeur de la nuit
Dans les ténèbres claires d'une steppe enneigée
Le lourd silence apaisé d'un cri est détruit
Les cris résonnent faisant vibrer tous les rochers
Les loups se joignent au chorus des cris de la mère
Les montagnes tremblent sous les cris qui se réverbèrent
Entouré du froid glacé, au coeur de la nuit
Les hurlements de loups accompagnant ses cris
Sous le vent étoilé de glace donnant la vie
Sous le lourd manteau blanc du brouillard, elle le vit
Entouré du froid glacé, au coeur de la nuit
Les hurlements de loups accompagnant ses cris
Sous le vent froid étoilé de glace il naquit
Sous le lourd manteau blanc du brouillard, il naquit
L'éternel hiver dura encor et encor
Et ce vent glacé qui l'avait vu naître alors
Continuait à souffler, comme pour mieux l'observer
Pour le voir grandir, évoluer, se renforcer
Mais pour dire vrai dans les confins glacés du Nord
L'été n'est qu'un vague rêve, un espoir encor
Sous le manteau de neige il grandit, devint fort
Sous le manteau de neige sans compter ses efforts
Sous le manteau de neige qui enveloppe le Nord
Il le sentait à travers chaque fibre de son corps
Il était destiné à un grand avenir
Sous le manteau de neige s’entraînant sans repos
Sous le manteau de neige travaillant ses assauts
Sous le manteau de neige aux passés ancestraux
Il l'entendait dans le chant de tous les oiseaux
Il était destiné à un grand avenir
Sous le manteau de neige il maniait sa massue
Sous le manteau de neige il était à l'affût
Sous le manteau de neige rien n'était trop ardu
Il le sentait, l'entendait, l'avait toujours su
Il serait un héros, allait le devenir