Les contes d'Arthilion.

Ici, l'on conte des chroniques relatives aux îlots centraux
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Azhalvek
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Les contes d'Arthilion.

Message par Azhalvek »

Bonjour aventurier. je vois dans ton regard, la soif de savoir. Ne me demande pas mon nom, ni d'ou je viens. ça n'en vaut pas la peine.
Tout est écrit ici *sort une sorte de livre couvert de poussière ou il est inscrit: Récit et aventure de Arthilion et da sa compagne Girgaad.*

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Azhalvek
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Message par Azhalvek »

Première page.


Vous ne connaissez surement pas Arthilion. Normal. C'est un elfe comme les autres. Noble, maigrichon, intelligent, beau (suceur de branche sur les bords, tout de même).
Il avait en faite un seul défaut. Il était amoureux.
De qui me demandez vous, si vous, oui vous aventurier vous n'avez pas encore fermez ce journal qui vous paraît ennuyeux au premier abord.(on dit que c'est la première impression qui compte, mais nous nous égarons.)

Il c'était épris de la fille du Seigneur de la contrée D'Iralthâr.
Le pire étant qu'il avait osé lui avouer. La noble elfe, en toute bonne dame, avait refusé poliment. Tout d'abord elle lui avait exposé cette raison:
"J'sors pas avec des pouilleux".
Bon. Mais cela n'expliquais pas tout. En plus du fait qu'il était "pouilleux", Arthilion avait un enfant. Pas à lui, bien sûr. Il était bien trop... bien trop... justement, bien trop Arthilion pour avoir une femme. Il l'avait recueilli a l'orphelina.
Ghimvek était son nom. "jeune louvetaud" en langage elfique.
Le jeuno avait été abandonné par ses parents, et élévés par un couple de loups sauvages. Vous connaissez donc l'origine de son nom. Lorsque le voyage a débuté il n'avait pas plus de trois petites années.
Mais quel voyage donc ?

Le voyage que Arthilion s'octroya, désésperé, suite au refus de la noble dame. Un voyage, pour lequel il avait prit tout ce qu'il y avait d'important a ces yeux et laissé les souvenirs, ainsi que les pacotilles dérrière lui.Enfaite, seul son fils et quelques bagages l'accompagnére.Ce départ menait vers une nouvelle terre appelé "Séridia" ou une colonie était déja installé, et ou on attendait de la main d'oeuvre. De la main d'oeuvre... Quel drôle de mot pour la tâche qu'on leur réservait.

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