Malheurs d'un clan, exil d'un Nain.

[Karizar]

Voici mon humble histoire...

Je suis issu d'un petit clan qui ne vivait que du travail et du commerce des maigres biens que les montagnes nous laissaient prendre. Le travail y était des plus difficile, mais nous mangions à notre faim et buvions plus que de raison, enfin au moins autant que les autres Nains.

Mon père était un alchimiste de renom, fournissant de grands forgerons et autres magiciens, qui pour la plupart étaient des elfes de la forêt non loin de nos grottes.

C'est ainsi, par une nuit brumeuse, mon père s'en alla quérir de l'aide auprès d'un elfe, notre petite communauté venait d'être frappée par un terrible fléau. La plupart des jeunes Nains, dont je faisais parti, étaient atteind d'une étrange maladie, il nous devenait très difficile de continuer à travailler dans les grottes.
Mon père revint avec un elfe, c'est être n'était que peu apprècié par notre clan, mais mon père lui faisait confiance, il entretenait une relation d'affaire puis même d'amitié au fil des années. Il m'examina et en conclue que la montagne devait en avoir assez de nous, car cette maladie était la Kloss-Trop-Fobie. Il nous expliqua que ce serait dur pour nous de continuer à creuser nos mines et que la guérison d'une telle maladie serait longue et difficile.

Mon père accepta le verdict sans sourcillé, mais les autres Nains ne voulurent pas entendre les paroles de l'elfes, qui avait pourtant pris de grands risques en venant nous aider sans prévenir son peuple.

Les jeunes Nains retournèrent dans les mines, sans moi, car mon père ne voulu pas. Pendant que les Nains luttaient avec leur propres angoisses sous terre, j'étudiais les écrits de mon père sur l'alchimie et décida de suivre cette voix. J'avais établis mes quartier à l'extèrieur des grottes, pour que la maladie ne vienne pas perturber mon étude.
Pendant que j'apprenais, mon père travaillait jour et nuit pour trouver un remède à cette étrange mal, il essaya toute sorte de potions et autres mélanges d'herbes et matériaux exotiques.

Un jour l'elfe revint pour apporter la substance qui manquait à mon père pour réussir enfin ce qu'il cherchait depuis quelques semaines. Il travailla encore une nuit, et le lendemain il me fit boire son remède. Et ça a marché...Qu'il est agréable de pouvoir retourné dans les grottes et sentir cette fraicheur, j'étais heureux en pensant à la sauvegarde de notre clan, à la guérison des Nains terrorisés qui creusaient les profondeurs des mines.

La majorité du clan était regroupé dans une partie de la mine, les Anciens étaitent obligés de rester soutenir les plus jeunes, en leur parlant et en les encourageants, car avec cette maladie si vous restiez seul à creuser, il n'était pas rare de vous retrouvez recroquevillez sur vous même et tremblant telles une feuille au vent. Mon père courru dans cette partie de nos mines pour annoncer la nouvelle et donner à tous ce remède. Et moi je restais à l'entrée des grottes émerveillé par cette sensation qui avait remplacé la peur.
Un grand fracas me tira de mes observations, je courru le plus vite que je pouvais pour arriver dans la partie de mine exploitée et vit mon père à genou devant une immense barrière de rocher. Tout le plafond de la grotte venait de s'effondrer sur tous les Nains qui s'y trouvait. Ma seule réaction fut la même que celle de mon père, je tombait à genou ébahit cette fois par une sentiment de tristesse inimaginable...Tous mes amis, ma famille, mon peuple, gisaient sous des tonnes de roches...

Après des heures sans bouger devant cet éboulement gigantesque, nous nous levèrent difficilement et revinrent vers l'entrée de la grotte, annoncer aux quelques Nains qui restaient l'affreuse tragédie. Leur première réaction fut de lancé un grand cri de rage commun vers les mines, et leur seconde...fut de nous accusé d'avoir laissé un elfe entré dans les mines.

Le reste du clan nous accusat de ces malheurs, nous ne pouvions rien dire, encore trop boulversés...Nous acceptâmes le verdict du clan et nous dûmes partir, bannis par nos frères. Ce fut une épreuve terrible. Mon père était devenu l'ombre de lui-même, il peinait à parler et maigrissait à vu d'oeil. Il mourru peu de temps après notre départ.

Avant de mourrir, il me confia que la seule solution pour moi était de rejoindre des contrées inconnues, ces Landes Eternelles. Mon père m'avait raconté plus d'une fois les aventures d'Enur au côté de Fingel, et j'aimais ces histoire tout comme mon père... J'accepta sa volonté, ne sachant pas ce que j'aurais pu faire d'autre.

Je pris un bateau, encore une épreuve pour un Nain telle que moi, et arriva sur l'Ile du Trépont, près à découvrir mon futur...

[Eden]

Si ton exemple est bien Enur je ne peux que souhaiter qu'a son modele et pour respect envers ton pere tu acceptera les differences arborés par ceux que tu sera mene a rencontrer.

Par ailleurs je te presente en te priant de les accepter mes regrets quand au sort qui fut le votre a toi ainsi qu'a ton pere.
Une nouvelle fois l'incomprehension fut le moteur d'une tragedie.
Pourtant rien ici qui ne soit comprehensible et par la meme combatable, non par la violence mais par la force de l'esprit, l'Intelligence.

Soit sur qu'il y a sur ces terres des gens qui te comprendront et qui je l'espere te compteront a leurs cotes si les nuages qui nous guettes devais se preciser.

Avec toute ma sympathie.