Récit d'un Galdur.

[darklight]

*Rentre dans la taverne très silencieux, pour que personne ne le voit puis s’installe au fond de salle. Demande un baril de Ghymilis au tavernier qui était venu lui prendre commande. Se sert une première chope et la délecta avec une pipe en bois d’If qu’il avait ramené de son séjour chez les habitants de la Haute Montagne . Au bout de son deuxième baril il commença à conter son séjour en Montagne.*

C’était il y a quelques mois, tout allait mal dans mon entourage, même mon entourage politique. Je décidai donc de prendre un peu de recule et aller étudier les Cyclopes des Hautes Altitudes. Je préparais mon sac de voyage, chargé mon Orcesse de garder ma cahute durant mon absence. Je me mit en route, je prit le bateau pour quitter les Landes, passant près de Roanof, j’aperçut Adrian en train d’inventer des compilations de monstres encore pire que sa poule d’eau. Le voyage dura 1 semestre.
_ « Vous êtes arrivé dans les Basses Montagnes sir DarkLight . » Dit une douce voix d’Elfe.

Je fit halte dans une auberge et prit un remontant contre le mal de mer que j’avais acquis. Je réservai une chambre pour dormir une nuit seulement.

*Le petit matin arriva et DarkLight n’avait pas fermé l’œil de la nuit, tenant son épée d’une main et une plume de l’autre, les yeux rivés sur une lettre écrite de sa main , on pouvait y lire :
« Tanit … »
Il jeta sa plume et déchira la lettre, prit son épée et la lança dans sa valise. Alla payer son dû à l’Aubergiste et se remit en route.*

Je marchais…marchais…marchais, faisant des pauses de temps en temps dans des grottes infestées de rats qui passaient à la soupe.
Je commençai à apercevoir la Haute Montagne, mais toujours pas de signes de Cyclopes… Je marchais toujours et inlassablement et me parlai tout seul.

« Bon, je penser qu’il être temps du dodo ! Aller, je coucher dans prochaine grotte ! »
Avec la solitude j’avais de plus en plus de difficulté pour bien parler et retrouvais ma langue maternelle. Arrivé à la grotte, je m’installai et m’endormit de suite. La nuit était agitée, mes oreilles me permettaient d’entendre ce qu’il se passait autour de mon campement, une bande de 3-4 choses énormes se déplaçaient autour de moi. J’ouvris les yeux et aperçu 4 énormes Cyclopes au moins deux fois plus large que ceux des landes et 3 mètres plus grand, je me hâtai de ramasser mon maigre sac de voyage et partis aussi vite que mes jambes me le permit, je voyais la sortie de la grotte, elle s’approchait puis jaillirent deux mêmes Cyclopes, me barrant la route. Je sortis mon épée, que les Nains m’eurent offert lors de la célébration de notre Alliance et je m’abattit sur le montre le plus proche, j’eus le temps de décocher quelques coups, mettre à sang mon adversaire jusqu’au moment où je reçu une massue de forte envoyée dans le dos, je fus propulser contre la paroi de la grotte et tombai dans un lourd fracas d’acier sur le sol, je tenais mon épée dans ma main, mais le reste de mon corps ne répondait plus, et puis, le trou noir.

Quelques jours après, je me rêveillais avec une douleur monumentale dans le milieu du dos, j’eus énormément de mal à me lever, la vision trouble je distinguai avec peine plusieurs petits Hommes autour de moi qui me regardaient avec assistance. Une fois que je bu une potion ça allait mieux. Je pus leur demander ce qu’il c’était passé et où j’étais. Un homme s’approcha, il était plus grand que les autres et avait l’air plus féroce.
Il commença à m’expliquer comment ils m’avaient tirés de la grotte avec les Cyclopes dedans, il m’apprit aussi leur histoire, leur isolement alors qu’avant ils vivaient très peuplés en bord de mer… Je leur expliquai ma situation et le but de ma venue ; ils m’enmenèrent dans un camp de Cyclopes Montagnard.

Une année passa, une amitié c’était scellée et bien que j’eus tous les renseignement que je désirais je ne voulais repartir. Ils m’avaient enseigné, tout leur savoir, qui était très grand. L’heure de mon départ arriva. Mardock le chef de ce peuple voulut organiser une fête pour fêter le bonheur que je leur avais apporté, ils m’offrirent une pipe en bois d’If. En la fumant de temps en temps elle me donnerai une force majeure et me permettrait des coups plus puissant des réflexes accrût. Une fois revenu dans les Landes, le mal ne c’était toujours pas calmé, je partis en exil.

*Le Galdur avec une larme à l’œil mit son manteau et sa capuche en peau d’ours et partit très silencieux, ce qui n’était pas de ses habitudes*