Les mémoires d'une aristocrate

Ici, l'on conte des chroniques relatives aux îlots centraux
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Vangella
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Les mémoires d'une aristocrate

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Voici le petit volume appelé communément « Le Vangélien ».

Il met en vedette Vangella et ses mémoires tout en racontant les histoires de ses parcours d'allant de sa piètre servitude du fond des bois jusqu'à sa boutique qui est aujourd'hui un « Magasin Général {MG} ».

En espérant que ce magnifique volume de huit pages vous permettra de connaître vraiment qui est cette Aristocrate commerciale qui désire toujours faire sa place.

1 ~ Les mémoires d'une aristocrate :

Il fut un temps où un homme (au début de la trentaine), vivant dans une grotte très loin d'ici, me parlait d'une île fantastique qui se nommait « Land ».

Je voulais en savoir plus sur cet île qui m'était totalement inconnu ; pour quelques pesos et un sourire, je le faisais parler d'avantage. Même si je n'avais que le statut d'une Aristocrate, j'ai toujours siégé à la Chambre du Commerce.

Avec le recule des temps, j'ai quitté le pays d'où je servais de nobles personnages (en faisant des armoiries et certaines images représentatives) pour enfin prendre un Galion direction des Landes.

Bien que j'ai toujours aimé voir de nouveaux horizons, de nouvelles aventures, découvrir de nouvelles civilisations, j'ai senti une tristesse en quittant ce pays mais je restais souriante tout en ayant une touche d'espoir et la hâte m'envahissait afin de savoir ce que me réservait ces nouveaux îlots.

Comme nous n'avions pas de carte détaillée, la vie devenait difficile sur le Galion. Plusieurs personnes sont morts emportant leurs âmes par la famine, les tempêtes et rogue waves, nous avions pratiquement tout perdu. De tout cela, je ne perdais pas espoir ; nous sommes quand même parvenu à la destination.

Avec tout les événements à bord, je ne me souviens plus à quel port le bateau s'est accosté ou sur qu'elle île avons-nous échoués mais du peu que je me souvienne, je n'avais qu'un simple baluchon contenant mon passé et mes souvenirs.

Mettant le premier pied sur la plage de l'île, j'ai eu une sorte de vision ; un sentiment inexplicable. C'est à ce moment que j'ai connu Jolan et Nolaj. Tout en m'invitant de manger avec eux, ils m'expliquèrent le savoir vivre dans ce pays. Ils me donnèrent quelques brochures à lire pour attirer mon côté aventurière, et possiblement comme future habitante.

Bien entendu, il y eu quelques habitants m'ayant guidés en cours de route et je leur en remercie en m'inclinant.

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Vangella
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2 ~ Mon premier emploi :

Lorsque Jolan et Nolaj eurent fini de m'expliquer ce que je devais savoir, ils me donnèrent deux grands livres. Pour savoir où j'allais, je me suis prise quelques pommes et je me suis assise près d'un arbre pour lire ces deux documents.

Forcément, comme je n'avais pas de futur, je ne me posais pas la question « Quel emploi spécifique devais-je avoir afin d'être à l'aise ». Je me suis donc rendu à l'île du Trépont pour travailler pour une taverne : récolter des légumes. Sans me sentir rabaissée, moi qui avais le status d'aristocrate là d'où je venais, il m'était bizarre de récolter de simples légumes que pour 0.50 lumens.

Pendant près d'une semaine, je récoltais pour cette taverne pour me faire du moins un porte-monnaie pour commencer à vivre. Malgré les piqûres sauvages des insectes et morsûres de couleuvres, j'ai dû me dépanner du mieux je pouvais pour survivre.

Au début c'était difficile mais quand je relisais mes deux documents tout en cueillant, c'était vraiment la base des bases et c'était à moi de juger ce dont j'avais besoin pour améliorer mon mode de vie pour ne pas sombrer dans le néant, la noirceur et la confusion.

Bien entendu, je croisais des habitants s'échouants sur l'île. Certains étaient très aimables comme d'autres purs sauvages. Je me disais qu'il fallait des gens de toute sorte pour faire un monde ; plutôt ce monde...

Donc, certains me guidaient du mieux qu'ils pouvaient tout en me faisant visiter de nouveaux horizons, villes et villages, pour donner enfin un sens à ma vie.

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3 ~ Des habitants sur mon chemin :

Du mieux je peux me souvenir, il y eu Watarus qui me montra comment faire des essences volcaniques. La direction à prendre en Séridia était Illumen pour les gueules de loup rouges et roses rouges puis Starenlith pour le soufre, dans la grotte de Thyl.

Au début, j'étais vraiment perdue avec tout ces paysages. J'avais peur de tout oublier ce que je voyais et où devais-je aller pour me souvenir des récoltes. Lorsque je réalisa 100 essences volcaniques, je lui ais donné ce que j'avais pour le remercier.

Quelques jours après, il eu un autre habitant nommé FredFly, un forgeron de renom. Il me voyait nouvelle habitante mais hésitait un peu à me parler. Je suis allé vers lui et à son tour, il m'a guidé du mieux qu'il pouvait mais avec quelque chose en extra il m'a apprit comment faire des essences aquatiques.

Pour m'aider d'avantage, il me suggéra d'acheter mes essences volcaniques puis aquatiques. Je lui donnais ce que je fabriquais car je ne savais rien de rien mais aussitôt, il me disa que les lumens étaient très importants tant qu'aux études des livres ou pour acheter des items que je ne pourrais pas récolter ou fabriquer moi-même.

Malgré que tout cela devenait difficile, il m'emmena à Bourg-Thylion pour acheter mes premiers livres de bases et pour survivre en cas extrême, il m'offra un ensemble en cuir renforcé et un ensemble en cuir noir sinan. Je ne savais rien de rien et je me demandais pourquoi il était si gentil comme cela avec moi.

Plus tard, tout en lui fournissant des essences volcaniques et aquatiques, il y eu plein de gens que je croisais tel que ValMar, CleMar, SyraGonn, TonyFlow et même un voleur nommé Alder.

Comme je n'étais pas du genre d'habitante qui ne volait personne dans mon pays, je ne me voyais pas être le contraire en Séridia mais ce Alder, c'était carrément une embuscade et il m'a mit à nue. Lorsque j'ai reporté ce malautru, il y eu Lianna pour venir à mon secours.

Bien que j'ai croisé certaines personnes de bonnes comme d'autres de mauvaises intentions, certain(e)s habitant(e)s ont quittés pour de nouveaux horizons, d'autres sont mort(e)s, comme d'autres de plus en plus près de moi. Sans avoir de déceptions ni de regrets, je me dis que c'est tout cela qui fait ce que sont les Landes aujourd'hui.

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Vangella
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4 ~ Propositions et appels d'offres :

Plus je prospérais dans ma vie, du moins comme pionnière sans vraiment avoir le status de citoyenne, certains Eldorians m'ouvèrent la porte de la forteresse. Je trouvais cela quand même difficile car peu de gens se parlait dans la communauté eldoriane et comme j'avais lu que les Landes étaient un pays d'entraide, je voyais que ça ne concordait pas avec ce que je voyais et ce que j'avais lu dans les documents.

Les autres races ne me disaient rien en tant que tel ; je savais tout simplement que je devais être eldoriane. D'espoir et de prospérité, j'ai tenté mon coup en étant citoyenne eldoriane. Déjà mon status pionnière m'avait quitté pour enfin m'offrir le status citoyenne. Comme mentionné, c'était bizarre de monter de rang malgré le peu de gens qui me parlait mais je ne me sentais pas en lesse, je savais que ce que je faisais comme fabrications, j'avais déjà des acheteurs et surtout savoir que eux, ne me laisseraient pas tomber pour un oui et pour un non.

Après quelques semaines, les contrats d'essences volcaniques et aquatiques étaient devenus volumineux, je prenais plaisir à fabriquer ce qui m'était demandé de faire mais arrive un moment dans notre vie, lorsque nous devons fabriquer des millier d'essences par nuit, nous nous appercevons que nous n'avons plus de vie.

Bien que je continuais à travailler pour la communauté, je ne me sentais plus dans mon élément ; je veux dire que je n'avais plus de vie, tout simplement. Je ne pouvais pas voir de pays ni explorer quoique ce soit d'autre. Bien sûr que certains m'offraient ce que j'avais besoin mais c'était la base des bases pour vivre dans la commune ; aucun extras ni droits de parole.

Par la suite, j'étais invité à une réunion politique des Eldorians à Cité Pierre-Blanche mais je me suis abstenue de tout jugements et commentaires car je voulais voir leurs visions sur ce qui concernait la politique, du moins, leur politique. J'étais trop nouvelle pour dire mon point de vu ou porter ma candidature mais pour d'autres, mes votes auraient été appréciés pour voter contre ceux qui votaient contre les autres ; j'étais vraiment perdue dans leurs visions. Je ne voyais aucun avenir dans une gestion telle comme celle-là.

En parallèle, Le Village m'a accueilli eux aussi les bras ouverts mais encore là, je ne me sentais pas à l'aise. Lorsque le chef m'a proposé un accord, il m'a fait plaisir de répondre à son formulaire et je le comprends, il voulait savoir où il allait avec son peuple. Ce que je n'ai pas aimé par contre est là aussi la gestion du peuple.

Je ne critique pas comment ils fonctionnent mais c'est quand même utile de savoir, pour les deux partis, où nous allons et comment devons-nous évoluer en société, du moins, savoir comment gérer son parti et/ou son peuple (Président, vice-président, secrétaire, trésorier, conseiller).

Dans le cas du Village, je n'avais jamais de réponses à mes questions, certains m'ignoraient (comme les eldorians) et on ne me demandait pas d'opinions. Le problème était la communication : ils enrageaient car je ne disais pas ce qu'ils voulaient entendre et c'était l'enfer en personne : me faire balader d'une personne à une autre.

A la fin, un habitant du « clan » m'offrait la porte avec un parchemin signé &quitter_gilde. Je trouvais cela triste comme message mais se ne sont que par les échecs que nous grandissons d'avantage.

J'ai toujours eu l'habitude d'être itinérante (sans toutefois vivre dans la misère) et j'ai toujours été présente face aux autres dans le besoin sans faire de comptes rendu à personne sauf à mes propres jugements.

Après deux échecs du genre et à peine quelques semaines comme citoyenne Eldoriane, j'ai eu la citoyenneté Eldoriane mais je m'étais acheté une vieille maison à l'extérieur de la forteresse car je croyais que c'etait mieux comme cela pour tout le monde...

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Dernière modification par Vangella le 09 déc. 2010, 12:44, modifié 2 fois.

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5 ~ Aventures et explorations :

Quelques mois apès mon arrivé en Séridia, j'ai visité des régions (si le terme est) en Séridia. J'avais peur de marcher dans le néant et la confusion car je me suis retrouvé seule face à moi-même avec des sous-entendu, des oui-dire, des querelles et j'en passe ; mais avec une grâce qui m'était donné, j'ai découvert Nord-Thyl.

Bien que cette région semblait être une terre sèche et brûlée par les mémoires du passé, je me rendais compte que je m'y plaisais. Après plusieurs jours de longues décisions, assise sur un vieux canot à Trépont, j'ai décidé d'ouvrir mon propre petit commerce. Je me rappel comme si c'était hier, il y avait que deux étagères : essences volcaniques et essences aquatiques et ma publicité était simple grâce à un vieux écorse d'arbre et un couteau rouillé, j'avais gravé : « Alchimiste ».

Plus je vendais, plus il m'était permis de voyager et plus je voyageais, plus je découvrais des nouvelles régions puis des librairies. Tout en explorant, d'avec ce qui c'était passé avec deux clans, j'ai toujours eu une rage en dedans de moi. Je n'ai jamais voulu cette rage car je me disais tout en visitant les villes et villages, pourquoi je devais assumer leur mal gestion et me faire mettre dans un sous-sol sans voir la moindre parcelle de lumière.

Tout en explorant toujours les régions, j'ai découvert Irilion. Sans me répéter, d'avec le passé de mon pays natal et le passé de ce qui est mentionné me suivaient ; le baluchon semblait vide mais il était déjà trop plein. Plus je visitais les régions en Irilion, plus il y avait de beaux villages et j'ai découvert Nargraw, cet île lointain en quoi cette région, deviendrait mon lieu de culte.

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6 ~ Commerce, succursale et entrepôt :

Comme les lumens n'entraient pas comme prévu dans la caisse, j'ai dû me trouver un second emploi ; un job d'été : la récolte de fruits que je vendais à la taverne au prix de 0.60 lumens à Nord-Thyl. C'etait par celui-ci qui m'assurerait de payer mes études, du moins, d'une grande partie. Mais plus le temps avançait, plus je m'y plaisais et je prenais à coeur à faire cet emploi d'été et c'est par celui-ci également, qu'il m'a permit d'agrandir d'avantage mon commerce à Nord-Thyl, même si cette région est sous la gestion des Nains.

Tout en agrandissant ma boutique Alchimiste, il m'est arrivé des propositions tel que : achats par faillite de commerces, des produits qui ne se vendaient pas, adandons commerciaux, des habitants quittaient le pays pour de nouveaux horizons et offrir un service de récolte pour augmenter la production de certains habitants ou commerçants.

Je voyais cela très intéressant car du peu que je connaissais du pays ou du peu de gens qui me parlaient, je trouvais cela unique et original d'offrir se genre de services : achats-rachats, ventes-reventes et faillites-encans. Plus les semaines avançaient, plus je me disais pourquoi eux ne garderaient pas leurs idées et prospérer dans ces voies ; mais la réponse fût radicale mais simple : personne n'avait le temps.

Plus j'étudiais, plus je testais des produits, tant au niveau alchimie [ALC] que fabrication [FAB] et même si j'avais déjà une mauvaise réputation causé par mon caractère, les ventes étaient quand même bonnes. C'est alors que j'ai revisité Irilion pour ouvrir une nouvelle succursale à Irissadith.

Sachant que la maison mère de la boutique Alchimiste était à Nord-Thyl (Séridia) et qu'une succursale c'était implantée à Irissadith (Irilion), je ne me voyais pas en arrêter là. J'ai poursuivi mon chemin en prenant d'autres bateaux jusqu'à ce que je découvre Nargraw Nord et Nargraw Sud.

De ce qui est de Nargraw Nord, j'imagine de par le volcan, plusieurs habitants ont dû fuir vers le Sud ce qui fait que Nargraw Nord est complètement déserté par ses mémoires de son passé aussi. Voyant Nargraw Sud, je trouvais cet Île magnifique malgré les puissances météorologiques qui s'y déchaînaient : torrents, pluies fortes, vents violents, inondations, j'ai décidé d'en faire mon propre entrepôt.

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7 ~ Commerce d'aujourd'hui :

Au cinquième mois, à lire des dépliants, brochures et revues des Landes, je me suis aperçu que certains habitant(e)s aimaient parler de politiques, de religions, de combats, de potions, d'artisanats, de magies, de nécromancies, je me disais : « Qu'en est-il du commerce ; pourquoi si peu d'habitants en parlent (?) ».

Avec mes expériences commerciales, je me disais que ce pays ayant des contes, récits, histoires et légendes cachés pourrait peut-être vivre ou revivre des jours encore plus heureux si le commerce serait revu ou du moins, comprendre comment fonctionne le commerce.

Si des habitants aiment parler des points mentionnés, moi, et sans honte, je suis dans le commerce et je sais que le commerce est ma place : les analyses, les calculs, les bourses, les formules et les marchés.

Depuis mon arrivé, j'analyse presque tout à la moindre valeur des objets et non juger de par ce qui est (était) vendable ou non et/ou en demande ou non. J'ai toujours été une personne de foi, honnête et de justice.

Au fil des mois, plusieurs personnages de marques m'ont signalés (ce qui est encore le cas) de regarder dans « Connaissances et Incunables » afin de fabriquer ou savoir ce que je dois savoir afin de progresser. Donc, ces grands livres m'ont servi afin de me construire une base de données commerciale : le repère des valeurs.

Lorsque ma boutique a prit naissance à Nord-Thyl, après plusieurs mois de recherches et d'expertises (en étroite collaboration avec une de mes ancienne cliente Ninimpiedtendre, qui aujourd'hui, son rang est passé de simple cliente à Co-Propriétaire de la Boutique MG) nous avons créées (par Excel), un mode de calcul fixe et stable mettant en vedette les niveaux, les nexus, le temps tout confondus selon les grands livres appelés « Connaissances et Incunables ».

Je ne dis pas que ce sont des calculs explicitement arméniens gravés sur des tables de pierres mais ceux-ci donnent un très grand produit final de ce que vaut vraiment les produits une fois terminés. L'avantage de cette base de données est qu'elle peut être éditable à tout moment et lorsqu'un prix brute d'un produit change, toutes les formules entrent en action pour ajuster le prix des autres produits en conséquence.

Par des expériences farouches, j'ai découvert beaucoup d'injustices au niveau des calculs face aux prix versus les valeurs de ceux-ci. Si le commerce est (ou était) un sujet disgracieux depuis le début des accords commerciaux, je décide donc de relancer le commerce à une version plus juste.

Malgré que je sois encore toute nouvelle dans les Landes (selon d'autres commerces) et je sais également que je ne veux pas refaire ou remodeler celles-ci non plus mais si je dois avoir ma place comme commerçante, au même titre que les autres, je tiens avoir ma place au niveau commercial.

Je veux tout simplement commercialiser dans la bonne voie avec ma boutique Alchimiste qui est présentement en cours de rénovation et deviendra bientôt un « Magasin Général {MG}, avec plein d'articles à leurs juste valeurs en débutant avec les ingrédients de base et non pas avec le marché actuel qui ce limite en parole : « C'est le marché ».

Lorsque ma boutique à vu le jour à Nord-Thyl, elle s'est agrandit depuis le temps. Elle a eu un nouveau décor, une nouvelle structure, des étagères se sont rajoutées, des employés également et pour couronner cette magnifique croissance car rien est impossible lorsqu'on s'y met, ella m'a permise de créer Séridia Transport (ST).

Le but de Séridia Transport n'est pas de faire un pied de nez aux concurrents mais aider les gens qui ne veulent pas se déplacer pour récolter ou n'ayant pas le temps d'échanger avec d'autres habitants. Le client fabrique dans le confort de son foyer alors qu'il attend une livraison et l'autre est payé en direct. D'autres livraisons s'en suivent en cours de route jusqu'au prochain destinataire.

Que se soit ma Boutique {MG} ou Séridia Transport, ils sont très organisés comme services mettant en vedette un organigramme (Présidente, Vice-Présidente, Secrétaire, Trésorier, Conseillers, Chef de départements, employés).

Peut-être que ce mode de gestion fait peur car cela reste encore inconnu contrairement aux croyances publiques mais si ces continents doivent revivre des jours heureux, ils faut que tout-le-monde s'y mette et non dire : « Les Landes ne fonctionnent pas comme cela ».

Bien sûr que rien fonctionne, personne n'ose voir le futur des Landes et pourtant, des habitants n'attendent que des nouveautés ; voir de nouveaux horizons mais personne ne fait l'effort d'améliorer le Ministère du Développement Economique (MDE).

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8 ~ Vision du futur :

Malgré ce magnifique volume de huit pages que j'ai pu écrire depuis mon arrivé, je sais qu'une chose : c'est plusieurs personnages, autant RP que HRP, surtout des clans, des voleurs et plusieurs modes de vies qui font des Landes ce qu'elles sont.

Depuis je suis citoyenne, je tente d'offrir des idées pour embellir les Landes et lui donner un rayonnement qui affectera sa crédibilité et son image dans l'avenir ; tant au niveau des Ministères et leurs politiques, les gaietés des simples habitants, des religions que de la gestion commerciale et non pas toujours parler de guerres, de combats ou améliorer les épées à quatre lames pour trancher que d'un seul coup.

Des gens quittent le pays car ce n'est que combats, récoltes, expériences trop longues, aucunes actions, quêtes manquantes, loisirs, mais point de vu administratif, tout semble être normal car des gens quittent comme d'autre nouveaux arrivent et c'est le même cycle pendant 640 000 calendriers.

Je tente de trouver des points afin d'améliorer les ressources et valeurs. Peut-être trop radical comme idéologie mais peut-être avec un système gouvernemental avec des ministères, fera en sorte que les habitants des Landes puissent jouir d'un tel environnement.

Que les habitants soient fier d'être des habitants ; qu'ils en soient des pionniers, des citoyens, des marchands, des aristocrates mais si personne ne veut coopérer, un jour le volcan Nargraw-Nord se reveillera et cette journée-là sera la version Pompéi. Je ne suis pas voyante mais un volcan dort toujours jusqu'à ce qu'il ne crache des cendres...

Quoi qu'il arrive, je ne baisserai jamais les bras ; autant au niveau des gouvernements, des habitants que les commerçants. Je suis sûrement une des seule à avoir cette vision très ROLE-PLAY (RP) car quand je m'implique dans un domaine, je suis extrêmement présente ; voir je m'impose pour que tout-le-monde puisse en profiter.

Sauf que mon gros problème (sans en devenir une PsYcHoZ) est qu'à chaque jour, les Landes m'offrent deux choix : Je joue et je suis fière d'être dans ce pays ayant au moins une structure RP commerciale, ou soit je pars vers de nouveaux horizons...

Voilà qui est cette aristocrate appelée Vangella dans les Landes Éternelles.

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